"L'amour est dans le pré", tout particulièrement en ce jour. ( N° 1995 )
Treize ans de tournages, autant de saisons pour « L’ Amour est dans le pré » et jamais encore la chaîne M6 n’avait posé ses caméras dans les verts pâturages du PAS de CALAIS.
Pourquoi l’émission n’avait-elle encore jamais retenu de Ch’ti au casting ?
« Il n’y a pas de raisons particulières à ça », signale l’attaché de presse de l'émission, qui balaye les rumeurs selon lesquelles la météo capricieuse risquerait de compromettre le tournage. « On est déjà allé en Picardie, en Bretagne, dans la région Centre où on a parfois eu des conditions pas évidentes… »
Ça va changer au printemps.
Pour la quatorzième édition de l’émission phare présentée par Karine Lemarchand, deux candidats nordistes ont retenu l’attention de la production, dont un résidant dans le TERNOIS. Charles-Henri, dont le portrait sera diffusé dans l’épisode de lundi à partir de 21 heures, est un céréalier et éleveur laitier de 36 ans. Décrit comme un « visionnaire » et un « perfectionniste », attaché à la survie de son exploitation, il n’en cherche pas moins, comme tant d’autres agriculteurs avant lui , à rompre avec la solitude en retrouvant l’AMOUR.
De ses attentes, on en sait pour l’instant peu, si ce n’est qu’il est en quête d’une femme pleine d’« énergie, spontanée, indépendante, avec des valeurs », prête à lui faire oublier son précédent échec sentimental, dont il aura mis deux ans à se relever, mais dont il aura gardé une immense fierté : sa fille de quatre ans et demi « qu’il aime plus que tout ».
Les caméras de la chaîne devraient prendre leurs quartiers dans le TERNOIS à partir de la fin du mois de mars, pour y suivre Charles-Henri et ses prétendantes. (Le Ternois est une région du Pas-de-Calais, dont le centre est Saint-Pol-sur-Ternoise.)
Le village de Charles-Henri n’a pas été révélé pour éviter que d’éventuelles prétendantes ne se présentent à son domicile après la diffusion des portraits. Tous castings confondus, le record du nombre de lettres reçues par un célibataire avait dépassé les mille courriers.
NDRL : J'avais gardé ce sujet pour le 14 février, jour de la Saint Valentin !