La famille Quinquin, exilée dans le Sud de la France, n'oublie pas ses origines nordistes.
Vous vous souvenez de la tête que faisait Quinquin junior, à la fin juin ( n° 459 du 25 juin ).
On lui trouve aujourd'hui un autre visage !
Comme à vous sans doute. Sauf peut-être les grands-mères qui ont reçu ces petits-fils et petites-filles?
Vous devinez de qui je parle. Oh ! petit Quinquin ! Et rendez-vous en septembre.
Et dire que certains ont encore besoin de lire les paroles !
Pour les " moules-frites ", ils étaient revenus. C'est Quinquine qui était contente: elle n' avait pas vu son grand-père depuis plus d'un an.
Son Papy, c'est Léon le Dunkerquois.
Couple mythique avec Suzanne,
qui a retrouvé ses vieux amis: Anne-Marie, Jean-Claude et " les friteux : " Florette et son mari.
Ce 18 juillet, il y avait tout ce qu'on sait et puis ?
C'était Marie-Jo qui nous le proposait :
Les enfants participèrent volontiers au tirage de la tombola. Cette journée fut vraiment familiale.
Et le Président qui a bien mérité, après l' effort, une bière, pour le réconfort.
Et on ne sait pas ce qui est le plus agréable: le plein air, le petit rosé bien frais, les moules, les frites
ou les conversations entre amis retrouvés.
Malgré la chaleur de juillet, le Président et les fidèles ont toujours la flamme.
Il faut reconnaitre que, cuites au feu de bois, les moules sont bien bonnes.
Ce n'est pas à la mode nordiste, mais on a pris goût à l'huile d'olive.
L'apéro, c'est bien.
Mais pendant ce temps là, les " fourmis laborieuses " ( vous vous souvenez ) préparent la subsistance.
Pardon, il y a un homme !
Dans notre région qui, traditionnellement, aime les enfants et voit avec bienveillance les familles nombreuses,
on ne leur a pas chanté la berceuse.
Mais ces p'tits Quinquin là sont au royaume des anges.
A midi, une rencontre commence, bien sûr, par un apéritif.
Non pas, comme a dit notre docteur, pour ouvrir l' appétit, mais pour ouvrir la convivialité.
