La culture ( n° 158 )
Mais on a aussi donné dans la culture. Surtout les hommes.
Le matin, on avait soigneusement préparé sa visite à Airbus.
On n' est pas allé sur le tarmac, mais la photo de groupe était quand même obligatoire.
La famille Quinquin, exilée dans le Sud de la France, n'oublie pas ses origines nordistes.
Mais on a aussi donné dans la culture. Surtout les hommes.
Le matin, on avait soigneusement préparé sa visite à Airbus.
On n' est pas allé sur le tarmac, mais la photo de groupe était quand même obligatoire.
A la grande ville, on trouve les boutiques !
C' est une Quinquine ( pas notre petite Quinquine de 1 an ) qui est contente avec son Diddle !
Eh oui on s' est baladé en famille: père, mère et fille.
Les familles Quinquin...
Les ch'tis envoient des photos de Toulouse.
" Si leurs maisons sont alignées...", cela leur rappelle quelque chose.
Est-ce la brique qui leur a tellement plu ?
On peut penser à la cour de l'Hôtel de Bourse de Lille.
Et le clou, c' est bien sûr le Capitole.
Ce sont les clubistes qui rédigent la page sur la journée passée le 02 juin 07 à Toulouse :
" Nous avons passé une excellente journée à Toulouse. Et bien sûr, nous avons chanté " le P'tit Quinquin" en choeur au restaurant. Amitié d' une Quinquine, Anne. "
C' était un menu gascon évidemment avec salade de gésiers et vin ...rosé.
Manger, et puis discuter.
Et quand les carafons sont vides, quitter
C'était, vous l' auriez deviné, au restaurant "Le gascon", bien connu des Narbonnais.
Pierre a-t-il pris le gouvernail ? Non, il est en promenade avec son épouse et les autres.
Voilà le maître à bord:
Cette fois, c' est Marie-Jo la photographe.
Nos compères Serge et Pierre ( car ils sont solidaires ) ont comparé la canal du Midi avec le canal narbonnais de la Robine.
A Toulouse, l'autoroute passe en dessous du canal.
Et les quais d' amarrage touchent un quartier de ville aux buildings modernes.
Il faut savoir s' y promener ou embarquer. Mais ce serait bien ce qu' ils ont fait ! ? ...
Serga a saisi la typicité des péniches toulousaines et il n' a eu que l' embarras du choix:
Toulouse, ce sont ceux qui étaient du voyage le 2 juin, qui en parlent le mieux. Serge nous a fait un beau reportage sur le canal du Midi. Vous lui devez ces belles images:
Quinquin, qui est né à Narbonne, se devait d' apprendre l' histoire narbonnaise. Il a donc vu le spectacle évoquant les évènements de 1907. Il a compris que la mévente du vin engendra une crise bien au-delà des Corbières.
Les manifestations, croissantes de 87 participants à environ 350.000 dans toute la région, aboutirent après la mutinerie du 17ème Régiment à une répression sanglante et malheureusement Narbonne eut des morts.
CLEMENCEAU reçut Marcelin ALBERT qui avait mené la lutte. Dès lors, l' abus de sucrage et de mouillage, qui aboutissait à une surproduction, fut interdit et seul le vin naturel fut autorisé.
Désormais on peut chanter le "Coupo Santo "
Quinquin va apprendre une page de l' histoire régionale,plus particulièrement grâce à sa grand-mère Marie-Jeanne.
Bien intégrée à Narbonne, celle-ci va en effet participer, mardi 19 mai, à une reconstitution historique locale. Elle va revêtir une longue jupe noire, un chemisier à manches longues, une coiffe de paysanne et un châle noir.Costume inspiré de cette photo, pour un centenaire.
Que s' est- il donc passé le 19 mai 1907 à Narbonne ?