Il est encore temps d'offrir des chocolats. ( N° 1176 )
La chocolaterie DIOT, d'origine artisanale depuis des années, a démarré dans une famille de CAMBRAI. Elle a beaucoup de magasins de vente dans le Nord-Pas de Calais , la Picardie, la Seine-Maritime. Elle s'est posée à Narbonne, dans la rue du Pont des marchands. Car la gérante, Isabelle Holemans, a eu envie de soleil.
Les créations de la maison DIOT sont originales, par leur composition et par leur présentation. Ce qui attiré l'attention de la Ch'tie que je suis, c'est de voir dans une vitrine narbonnaise et de chocolaterie, un plateau de fromages. Mais aucune équivoque possible, il s'agit d'un maroilles pâtissier. Le Ch'ti Diot, avec un jeu de mots, est un subtil mélange, qui a pris une forme carrée et existe en plusieurs tailles.
Pour bien marquer ses racines et accrocher le client par l'humour ch'ti, le chocolatier a mis en scène une autre spécialité du Nord, à savoir les endives. Leur forme cache la rencontre du praliné et du café.
Le pâtissier permet aussi de revenir de là-haut, avec une tuile. Pas une sale tuile !!
Une tuile délicieusement craquante, présentée avec ses compagnes, sur le toit de sa maison de carton, que les briques n'alourdiront pas.
Mais les Narbonnais seront peut-être plutôt attirés par ? un saucisson !
Le saucisson de chez Diot prouve que, si la forme a de l'importance, le fond en a encore davantage. Le fond de la recette est un secret bien mérité.
Pour plaire à Narbonne, il fallait bien mettre l'imagination de Diot au pouvoir. Il a su. Et le chocolat a pris la forme de ? un ballon de rugby ! Of course !
Bien entendu, les petits chocolats tentants se trouvent aussi dans la boutique .
Conjuguer la recherche, le travail, l'originalité, l'humour, le savoir-faire, le goût, la délicatesse, au service du chocolat, c'est ce que fait la maison DIOT.
Vente également en ligne. Un site : www.chocolats-diot.fr
Une initiative peut dynamiser un quartier ( N° 1175 )
Une Ch'tie, désormais implantée dans un quartier de Narbonne, salue un évènement local. L'Institut National de Formation pour Adultes, en liaison avec le Club Photo de la M.J.C. , a proposé un concours de photos sur le thème " Les Quais d'Alsace et de Lorraine au fil du temps".
N'ayant pas négligé la seconde partie de la phrase et ayant soumis une photo en noir et blanc, l'auteure du cliché ci-dessous fut la gagnante.
Ces quais, de part et d'autre du canal de la Robine qui traverse la ville de Narbonne, offrent des vues superbes et sont l'occasion de promenades tranquilles.
Les photographes amateurs ont été nombreux à flasher divers aspects du quai d'Alsace et du quai de Lorraine et à les montrer au jury. Bien sûr, toute la poésie, comme celle de tous les quais, ce sont les bateaux. Ici, de passage ou résidents.
Les riverains, eux, voient en permanence, la vie des bords de canal. Ici on promène les chiens. Ici les joggeurs ont une piste idéale. Ici les pêcheurs passent le temps pour le plaisir. Ici ... Il suffit d'être ici au bon moment.
La remise des prix a eu lieu dans les locaux de la M.J.C.de Narbonne. Elle fut suivie d'un joli buffet servi par de jolies hôtesses. Pros ou pas, nombreux étaient ceux que l'endroit avait séduits.
L'initiative de l'I.N.F.A. est à louer, car elle peut dynamiser un quartier quelquefois délaissé au profit du centre-ville ( certes historique ).
Un théâtre de poche est l'âme du bout du quai : l'Entresort. Merci à tous.
Le Nord sauverait de l'inondation les réserves du Louvre ( N° 1173 )
L'actuelle Ministre de la Culture veut sauver d'une éventuelle inondation, les 200.000 œuvres d'art en réserve, inutilisées, au Louvre parisien. 23.000 m2 sont, pour cela, nécessaires.
Son regard s'est tourné vers le Nord-Pas de Calais. Dans la Communauté d'agglomérations de Lens, le nom d'une ville a été évoqué: LIEVIN.
LIEVIN est une ancienne ville minière qui a connu des catastrophes minières. A proximité du Louvre- Lens, les réserves, là entreposées, permettraient de renouveler plus facilement les expositions temporaires du musée nordiste.
La Ministre y souhaiterait, non pas une simple aire de stockage, mais aussi un accueil pour les professionnels des musées et peut-être même pour du public. L'anglais y serait la seconde langue employée et le néerlandais la troisième. Ceci à l'horizon 2017.
Le transfert serait programmé. Evidemment, le projet a un coût : 60 millions d'euros.
Il y eut 173 candidats architectes, après appel d'offre. 5 candidats ont été retenus.
Nous saurons le 15 avril 2015, lequel l'emportera....
Le Nord au secours de Paris ? ( N° 1172 )
Préliminaire : En France, des milliers d'œuvres d'art ne seraient jamais exposées dans les musées publics. Selon la loi, on ne peut les revendre. Et d'ailleurs, les réserves travaillent pour les générations futures. De plus, certaines pièces, des photos par exemple, sont fragiles et ne peuvent sortir qu'à doses prescrites, sous peine d'être brûlées par la lumière.
Au Louvre parisien, 200.000 œuvres ( sur 460.000 ) sont en réserve, sur 12.000 m2.
L'administrateur déclare: " Quand on aborde la question des réserves, il y a un mythe tenace, celui de la caverne d'Ali Baba."
Mais où est le problème ? Le problème est que les réserves du Louvre parisien sont sous la menace immédiate d'une crue importante de la Seine.
Le Nord-Pas de Calais pourrait-il apporter une solution ? Réponse dans mon billet de demain, inspiré du Net, bien entendu.
LILLE, ARRAS, ou AMIENS ? ( N° 1171 )
La question du nom de la nouvelle Région : "Nord-Pas de Calais-Picardie" est résolu : chacun y a sa place. Par contre, celle du chef-lieu n'est toujours pas tranchée. Jusqu'à présent, la Région Nord-Pas de Calais avait son siège à Lille.
20 Minutes Lille avait lancé un sondage. Lille était favorite, mais ce n'était pas représentatif de l'ensemble.
Sur Facebook, 150 personnes ont répondu, plaçant Lille en première place, avec 70°/°.
Arras sort deuxième avec 18°/° et Amiens arrive troisième avec 11°/°.
Le Maire d'Arras est assez satisfait, mais trouve un atout majeur à sa ville : sa position géographique centrale, proche du littoral, d'Amiens et de Lille.
Des paroles seront encore dites !
Les Londoniens sont-ils bavards ? ( N° 1170 )
L'anglais, langue universelle. Je l'ai remarqué à Londres, car aucune traduction, nulle part ( hôtels, musées, avions, restaurants, journaux etc ).
Quelquefois, pas besoin d'avoir fait de longues études pour comprendre. D'ailleurs Internet nous a obligés à consulter le dictionnaire, assez souvent.
J'adore une expression, tellement imagée, à l'humour bien britannique, qui me parle, au Nord et au Sud ! ( je retombe toujours sur mes pattes pour coller au thème de mon blog !!! ) :
" CLOSE YOUR NORTH AND SOUTH ".
Pourquoi l'expression ne s'adresserait-elle qu'aux femmes ? L'humour anglais m'a gagnée !
Des moules belges exposées à Londres ( N° 1169 )
Il est à Londres, un centre d'art contemporain, qu'a visité la mamie de Quinquine, pendant son court séjour. Il s'agit de " Tate modern ", qui a permis d'utiliser des locaux désaffectés. ( De même, à Narbonne, un lieu inabouti héberge des expositions temporaires d'art moderne. )
Parmi des Picasso, des Max Ernst, des Klee, des Picabia et autres, Mamie a été interpelée dans le " Tate modern ", par un tableau, en raison de son sujet et de son surréalisme. Il s'appelle " Casserole et moules ".
L'auteur du tableau ne lui était pas connu. C'est Marcel BRODTHAERS, un Belge. Recherches faites, il est dit de lui, qu'il fut poète avant d'être plasticien et qu'il fut dénué de souci artistique. Son but était de " Déplacer les choses hors de leurs catégories ". Donc, même, si "Ceci n'est pas un objet d'art " ( dixit ), l'évocation d'une scène, qui a dû bercer l'enfance du Belge, réjouit, plus qu'elle ne dérange. Les Anglais ayant le sens de l'humour doivent apprécier.
Un petit Quinquin " so british " ( N° 1168 )
Il était venu voir les vitrines de Noël, chez Harrods, le grand magasin londonien.
Mais il était habillé comme pour le jour de Noël. J'ai immédiatement sorti mon appareil photos, car on voit que l'élégance s'apprend tôt chez les Anglais.